Du cinéma à la musique, il n’y a qu’un pas qu’a bien franchi Landry Gnamba.
Après crevé l’écran et fait parler de lui dans l’univers du 7e Art ivoirien, l’enfant prodige quelque peu discret depuis un moment, s’est lancé dans une nouvelle aventure, une passion des premières heures qui n’est autre que la chose musicale.
Le beau gosse au physique impressionnant, Landry Gnamba recharge les batteries et se lance cette fois dans la musique. Domaine dont il a longtemps hésité avant de s’y mettre aujourd’hui, car estimant à l’époque qu’il n’était pas encore prêt pour la SCENE.
Ne dit-on pas que nul ne peut échapper à son destin !!! Bénéficiant en effet de l’indéfectible soutien de son entourage,il se résout en cette année 2024, de briser les barrières et franchir le cap. Il débarque de plein pied dans la musique et enregistre son tout premier single intitulé: « PARDONNE-MOI », c’est du RNB très soft, disponible depuis quelques jours sur toutes les plateformes musicales. Un clip est « en cours de téléchargement » et sera diffusé sur l’ensemble des chaînes cryptées.
Notons que déjà, le SON fait des émules au pays des Lions Indomptables, au Cameroun.
Landry Gnamba s’est révélé au public ivoirien en 2005 précisément avec la série à succès « Class’A ». De fil en aiguille, il enchaîne les passages sur plusieurs Séries Télé: « Brouteurs.com », « Yelo Pèppè » , « Les Coups De La Vie », « Impact » saisons 1 et 2 et « La Bataille des Chéries »
Le talentueux Landry Gnamba a à dans ses valises une bonne kyrielle de films, où il fut acteur, au nombre desquels, « BAKASHITA », « KAMISSA », « Le Sacrément du Mariage », « La prostituée », « TCHIKAMEN », « FOURNAISE », « YELO PEPPE », « LES LARMES DE L’AMOUR », « MELODY », « ASSINIE, DERRIÈRE L’EAU », « CONFESSIONS POSTHUMES », « MTV SHUGA BABI Saison 1 », « MTV SHUGA BABI Saison 2 », « Les Larmes De l’Amour saison 3 et 4 », « Un Homme À Marier saison 1 »
«CRUSH», « LE CHOIX DU CŒUR ».
Il faut aussi relever que Landry Gnamba a été également coopté en 2008 pour être l’égérie de la marque Wrangler.
PAR KAYA MAGAN