Quel bilan faites-vous des 3 mois de présélections ?
Dans l’ensemble le bilan est satisfaisant pour les 13 communes parcourues. Les autorités ont bien réagi. Le samedi 16 Juillet nous avons fait une réunion bilan au siège de l’UNESCO-Abidjan 2 Plateaux. Dans les communes et régions du pays, il faut dire qu’il y a eu une forte adhésion des populations. Partout ou nous sommes passés en tout cas, il y avait de l’engouement. Les populations se sont appropriées le concours Awoulaba CI.
Là vous êtes en plein préparatif pour la grande finale du samedi 30 Juillet au Palais de la culture ?
Les choses se passent très bien. Là nous sommes à Adiaké pour la mise au vert des 13 Finalistes Awoulabas. Nous serons de retour à Abidjan le vendredi matin 29 juillet.
Comment entrevoyez-vous le bouquet final du samedi 30 juillet à la salle François Lougah du Palais de la culture ?
On ne peut pas déjà prévoir. Mais nous sentons qu’il y a un fort engouement. Les parents, les candidates, les comités locaux, tous sont véritablement mobilisés pour ce rendez vous final du samedi prochain.
Quelle est l’adhésion des Autorités ?
Bien entendu les autorités seront invitées. Mme la Première Dame sera représentée. Les ministres en charge de la culture, du tourisme ainsi que de la femme seront présents. Nous avons aussi nos partenaires institutionnels de l’UNESCO et tous les partenaires qui nous accompagnent depuis ces dernières années. Ça sera l’occasion pour nous tous, en communion, de célébrer la femme et de vivre la culture.
Quelle sera cette année la grande récompense de la lauréate AWOULABA 2022 ?
Nous avons un partenaire qui offre un terrain de 600 m2 à la gagnante. Ce terrain est à Yamoussoukro. Il y a bien d’autres lots prévus. En général, les lots se découvrent au soir de la finale.
Quelles sont vos attentes à quelques petits jours de l’apothéose au Palais ?
Nos attentes, c’est qu’au soir de la finale, que les populations se mobilisent pour venir nous soutenir au Palais de la culture de Treichville. Parce que nous célébrons la beauté Africaine.
Par Valdérama