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Vivre-ensemble et esprit martial : Tiébissou en mode Yoseikan ce 20 décembre en hommage à Shihan Kouassi Konan David

La ville de Tiébissou s’apprête à accueillir, ce samedi 20 décembre 2025, le Championnat de la Cohésion Sociale et du Vivre-Ensemble de la Région du Bélier, doté du Trophée Shihan Kouassi Konan David. Initié par le CI-YOK – Côte d’Ivoire Yoseikan Karaté-do, présidé par Kouakou Fida, cet événement sportif d’envergure positionnera Tiébissou comme capitale martiale d’un jour, dédiée à la paix et à l’excellence.

Un rendez-vous organisé avec minutie

À quelques heures du coup d’envoi, Georges Zouhindé, président du comité d’organisation, rassure : « Toutes les dispositions sont prises pour réussir cette fête sportive en beauté. Athlètes, officiels et encadreurs sont attendus dans les meilleures conditions. »

Installation des tatamis, briefing des arbitres, protocole, accueil des délégations, sécurité et logistique, le comité se veut prêt, rigoureux et confiant. Le public, lui aussi, est attendu nombreux pour accompagner cette célébration du vivre-ensemble.

Les jeunes au premier plan

L’édition verra s’opposer les catégories : Mini-poussins (4–5 ans), Poussins (6–7 ans), Pupilles (8–9 ans), Benjamins (10–11 ans) et Minimes (12–13 ans).
Les combats Kumite enfants et adultes offriront un plateau à la fois formateur et spectaculaire, mettant en lumière la relève du Yoseikan ivoirien, mais aussi l’expérience des seniors.

Un hommage à Shihan Kouassi Konan David

Ce championnat rend hommage à l’un des piliers du Yoseikan africain, notamment Shihan Kouassi Konan David, 6ᵉ dan, représentant officiel du Yoseikan Karaté-do sur le continent, ancien champion national et international, et formateur emblématique de la majorité des ceintures noires en activité. Son nom, gravé sur le trophée, symbolise la transmission, l’honneur martial et la constance dans l’excellence.

Sport, cohésion, citoyenneté

Au-delà de l’aspect compétitif, cette rencontre se veut un acte de cohésion sociale. L’objectif annoncé est d’utiliser l’art martial comme vecteur d’éducation, de discipline et d’entente communautaire.

Akina De Kouassi

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